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Explo­sion chro­ma­tique. Pour affron­ter avec style la grisaille des saisons froides, ne passez pas à côté de la tendance aux couleurs écla­tantes vue chez Balen­ciaga, Balmain, Saint Laurent ou encore Chanel.

Vert fluo, jaune pous­sin, orange renard, rose shocking, ou bleu élec­trique… Cet automne, il est de bon ton d’égayer ses tenues à l’aide de couleurs vives. Comme un signe de protes­ta­tion au climat sombre et dépri­mant de la saison, ainsi qu’un excellent moyen de se démarquer de la foule confor­miste, en noir, gris ou marron. Une tendance opti­miste direc­te­ment impor­tée des podiums des fashion weeks automne-hiver 2014–2015 dont on n'hésite pas à s'inspi­rer. Chez Balen­ciaga, la collec­tion imagi­née par le jeune Alexan­der Wang (dont le fruit de la colla­bo­ra­tion avec H&M sera dispo­nible dès le 6 novembre prochain), un duffle-coat, en PVC parsemé de paillettes, se pare de jaune citron, porté sur une robe à rayures bleue et rouge. Idem chez les guer­rières urbaines de Balmain où un pull impo­sant en four­rure de murmansky casse la mono­to­nie d’une silhouette noire et blanche. Du jaune égale­ment du côté de Miu Miu et de Moschino, sur des trench-coats, en version sports­wear chic à la sauce sixties pour la marque de Miuc­cia Prada et davan­tage régres­sifs, recou­vert de pois noirs, pour la griffe sous la direc­tion artis­tique de Jeremy Scott.

Akris impose le total-look orange : gilet en zibe­line, pull en fine maille, panta­lon carotte et boots lacées. Élégant au possible. L’orange s'invite égale­ment sur les robes du soir, sexy et affrio­lantes comme chez Hervé Léger et Marchesa. Dona­tella Versace propose aussi la même teinte de la tête au pied avec un caban, des cuis­sardes en daim ajou­rées et petit sac rectan­gu­laire digne d’une First Lady. Plus nuancé, Joseph Altu­zarra ajoute des touches de fuschia à un manteau-peignoire très cocoo­ning. Quand Hedi Slimane pour Saint Laurent habille une tenue entiè­re­ment noire d’une cape rouge sang et Thakoon,favori d’Anna Wintour et de Michelle Obama, une silhouette fleu­rie d’un sweat loose. L’idée est de ne pas refré­ner vos envies et de jouer avec les teintes. En bonne colo­rista!

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Keira Knightley révèle au Guardian qu’elle a toujours eu un style très tomboy. Comme elle le raconte, c’est aussi ce qui lui permet d’être intéressée par des versions très sophistiquées de la féminité.

Keira Knightley a beau faire des émules quand elle pose pour Chanel ou s’affiche dans des robes d’époque dans Reviens-moi, dans la vraie vie l’actrice est plutôt proche de son rôle dans Joue La Comme Beckham : c’est un vrai garçon manqué ! Avant les occasions importantes, c’est sa mère qui lui rappelle quelques bases. « Ma mère a dû me dire d’enlever ma salopette avant de venir ici, raconte Keira Knightley, en riant, au journal britannique The Guardian. Mais je pense aussi qu’être un tomboy fait que je suis assez intéressée par l’hyper féminité. Il y a une certaine contradiction là-dedans. »

Sa part féminine, l’actrice a eu de nombreuses occasions dernièrement de la montrer sur le tapis rouge, où elle a assuré la promotion d’Imitation Game. Un peu plus tôt cette année, lors du London Film Festival, elle est arrivée au bras de son collègue Benedict Cumberbatch, dans une superbe robe Valentino. Les créations de designer sont devenues une seconde peau pour elle. « Je n’ai même pas porté de robe ou de jupe avant mes 14 ans. Ensuite j’ai commencé à faire des expériences avec la maquillage dès que j’ai eu l’autorisation, parce que c’est fun de changer votre apparence quand vous êtes adolescente. Plus tard, vous avez plutôt envie d’être séduisante pour les gens en général, et pour les garçons parfois, aussi », expliquait il y a peu Keira Knightley à The Observer.

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Le 22 octobre, Kim Kardashian a évoqué lors de son interview au magazine "Evening Standard", les principales règles en ce qui concerne l’éducation de sa fille, North West.

Lors d’une interview accordée au magazine Evening Standard, le 22 octobre, Kim Kardashian a déclaré que sa fille, North West, devra travailler pour se payer ce qu’elle désire quand elle sera plus grande, comme elle a pu le faire.

En effet, même si la familleKardashian n’a jamais été à plaindre, l’épouse du rappeurKanye West a déclaré : "J’ai économisé pour avoir cette robe Dolce&Gabbana que je voulais vraiment, ou comme lors de mes études je voulais ces chaussures Prada que mes parents ne voulaient pas m’acheter". Une valeur éthique du travail qu’elle a affirmé par la suite, en racontant sa propre expérience : "Et je me souviens qu’elles étaient à 400 dollars, j’ai dû économiser pendant toute l’année pour les obtenir. Nous n’avions rien de nos parents, nous devions nous trouver un emploi si nous voulions nous acheter quelque chose. Je travaillais dans un magasin de vêtements et j’économisais". C’est pourquoi, Kim Kardashian veut inculquer ses valeurs à sa fille. Elle souhaite qu’elle travaille dur pour gagner de l’argent : "Je disais un peu plus tôt à mes amis, je me demande ce que va être le premier job de North West. Elles m’ont dit : "Ah bon, elle va avoir un job ?" - Et je leur ai répondu : "Vous vous moquez de moi ? Mais bien sûr que oui ! Elle devra travailler pour obtenir ce qu’elle veut" ". En ce qui concerne l’avenir de sa fille, la star de 34 ans ne se prononce pas : "Je ne sais pas, elle aime la mode. Peut-être qu’elle va être styliste. Qui sait ? C’est trop tôt pour le dire". Une chose est sûre c’est que North West, à seulement 1 an et quelques mois, fait déjà partie du monde de la mode puisqu’elle a posé pour Vogue et CR Fashion Book.

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